lundi 19 octobre 2009

19/1o/2oo9 -- 2oh12

En fait, j'ai juste envie de pleurer.

mercredi 7 octobre 2009

o7/1o/2oo9 -- 19h42

Je m'envole dans des envolées lyrique, pour atterrir plus bas que terre, six pieds sous terre, dans les toilettes de Satan, bref où vous voulez.
Je me perds dans le schéma complexe mais intriguant qu'offre l'esprit humain à chacun.
Les méandres du coeur n'allant pas dans le même sens que celle de l'esprit, ces deux labyrinthes forts distinct ne m'aident en rien.
A trouver aucun accord je me noie dans ma rêverie qui s'évapore.
La régeneresence ne vient toujours pas, le sentiment est là, toujours là, rien que là.
Ce n'est rien d'autre qu'un futil sentiment, qu'on pourrait qualifié d'inutile si là vie de beaucoup ne tournait pas autour. Si les histoires qui font rêver beaucoup ne traîté pas de celui ci. Si les chansons qui font pleurer ne le prenait pas en compte. Pourquoi a t il fallut qu'il naisse, qu'il me brûle pour mieux me refroidir ? Pourquoi ne puis je pas l'éteindre ce feu alarmant, ces flammes bleues consumant mon coeur ? Pourquoi je me sens vide, lassée, brisée ? C'est stupide, et puéril. Il ne m'est rien arrivé pourtant. Rien. C'est bien là le problème, je souffre du rien.

Du rien.



lundi 28 septembre 2009

28-o9-2oo9 -- 16h31

Malade. Oui, malade. C'est tout ce que je peux dire à propos de moi, je suis malade. Au sens premier du terme ! Pas été en cours depuis jeudi. Oh, ça me dérange pas, mais faudrait j'évite de prendre trop de retard... J'espère pouvoir y retourner demain...
Haha mais OSEF. C[...] aussi. C'est décevant n'est ce pas ? Et stupide, non ? Voir complétement con.


J'ai une inspiration du tonnerre en c'moment ! Des idées qui fulminent de partout, des beaux romans genre Harlequin qui pourraient en être, des histoires mielleuses et collantes à souhait. Mais j'ai la flemme. J'ai aussi plein d'idées de dessins. Mais je sais pas dessiner.
Je n'fais pas partie de ces stars des blogs qui savent dessiner, écrire, composer. De plus, ils sont généralement beaux et originaux. J'aimerais aussi être belle, et un peu moins banale. J'aimerais avoir les fringues que j'veux, quand j'veux. J'aimerais être bien foutue, porter ce que j'veux, quand j'veux. j'aimerais être présentable, et jolie tout l'temps. J'aimerais tellement de choses, encore & toujours insatisfaite.

Pauvre gosse que je suis, tout pour être heureuse, mais trouve le moyen de se plaindre.


A trop gaté vos enfants, voilà ce qu'ils deviennent.


lundi 7 septembre 2009

o7/o9/2oo9 -- 19h11

La rentrée, ça suxx. J'aurai dut écouter mes crises d'angoisse et rester chez moi. En plus, c'est cool, je suis stereotypé en tant que nolife \o/
J'ai l'impression les gens ils se rendent pas compte. Ils se rendent pas compte qu'internet, c'est une ressource. Même si les gens qu'on y rencontre sont souvent faussé plus ou moins, même si certains doivent se foutre de toi, au moins, il est plus facile de s'y exprimer, et d'être comme on aurait envie d'être tout les jours. il est plus facile de dire ce que l'on pense sans chercher des feintes. Plus simple de s'assumer, de complimenter les gens, plus rapide de parler de soi. Plus facile. oui, internet est la facilité, la rapidité, la fausseté incarnée. C'est facile, si on tombe sur un con, on le bloque. On peut pas bloquer quelqu'un dans la rue, on peut pas l'éviter perpétuellement. On peut pas rester dans sa bulle, on est obligé d'affronter les autres et leurs regards. Je sais, c'est pas bien de rester enfermé dans sa bulle, et qu'a un moment, ben il faut grandir. Mais c'pas si facile que ça pour tous.
Mais, ya toujours un moyen de se sentir mieux. Le net et ses merveilles, la création d'un forum, se sentir UTILE. Création d'histoires farfelues pour s'y perdre encore mieux, identification à des personnages, rêves éveillés, échappatoire à la réalité, au lycée, aux adultes, aux enfants.
L'adolescence, limbes entre deux âges, deux êtres, pourtant une identité. Recherche d'une personnalité, les copains, la musique, l'anticonformisme... Perdus, perdus... Oui c'est le maître mot représentant l'adolescent en mal être. Et comme il est perdu, il tente de tout pour s'y retrouver : attachement aux études, à un être, nouvelles expériences, imitation, perdition dans l'art, la littérature...
N'importe quoi devient un échappatoire, n'importe quoi...

Coliet est triste, se sent seule & repense aux vieilles habitudes pourries.

samedi 22 août 2009

22/o8/2oo9 -- 2oh48

J'aime me faire renvoyer chier, ressentir l'inutilité absolue en moi, j'aime quand on m'enfonce plus que tout, et qu'on se rend enfin compte de ce que je vaux.J'aime quand on m'avoue enfin ce que je suis. Non, n'allez pas croire que je suis mal, que j'ai besoin d'un psy, qu'il faut que je parle, et toute les énormités qu'on a put me sortir de ce genre. Ca a toujours été comme ça, et je le vis bien.

(Monologue inutile ci dessus).


Je m'ennuie, je vais donc faire un tour sur un CHAT (pauv' bête). Faut que j'arrête les Chats, et autres conneries du genre, mais je ne peux pas . discuter avec des inconnus quand tu t'ennuies, découvrir des personnalités intéressantes, mais rare dans ce genre d'endroit, etc. Mais après, je dois être trop relou, puisque ces personnes là me parlent une semaine, et m'oublient après. Kikoolol que je suis...

A plus tard.

mardi 18 août 2009

18/o8/2oo9 -- 15h59

Mardi, chaleur étouffante, j'en peux plus. Mon pc m'a lâché hier, me revoilà avec un nouveau (tout beau tout neuf, c'la première fois *_*).
Quand il fait chaud comme ça, j'sais pas quoi faire. J'ai tendance à m'ennuyer, donc à penser, donc c'est pas bien. Ainsi, j'écris ici, mais ça me fait penser aussi, donc c'est toujours pas bien, mais je dois tenir mon blog, parce qu'il le faut, je dois me forcer à extérioriser plutôt que tout garder pour moi, je dois me forcer à montrer mon opinion plutôt que de ne pas la dévoiler en entière. Je dois m'obliger à m'affirmer afin de pas me laisser faire, ainsi, je m'oblige à argumenter mes propos, et à développer mes idées. Ainsi, je me construit petit à petit, toujours en gardant une part d'insouciance, et en continuant de foncer dans le tas sans trop réfléchir (juste ce qu'il faut pour éviter les catastrophes, quand j'y arrive). J'sais pas quoi dire quand même là...


Bob Marley est un Dieu, oé le Dieu de la fumette, symbole d'émancipation et de liberté.
"En 2096, quand l'ancien tiers-monde occupera et colonisera les anciennes super-puissances, Bob Marley sera commémoré comme un Saint." -New York Times-
Comme quoi, il a bien marquer les esprits, et ce pour longtemps j'espère.



Kurt Cobain est un homme plus saint d'esprit qu'on a voulu le croire :

"Parlant du point de vue d'un niais qui en a vu et qui, visiblement, préférerait être un gamin émasculé, cette lettre devrait être assez facile à comprendre. Tous les avertissements qui m'ont été donnés, au gré des quatre cents coups du punk rock, depuis ma découverte, dirons-nous, de l'éthique qu'impliquaient l'indépendance et l'embrassement de votre communauté, se sont avérés justifiés. Je n'ai plus ressenti d'excitation à écouter de la musique ni même à en créer depuis maintenant trop d'années. Je me sens coupable de tout cela bien au-delà des mots. Par exemple, lorsque nous sommes en coulisses, que les lumières s'éteignent et que les hurlements frénétiques de la foule commencent à se faire entendre, cela ne me touche plus autant qu'un Freddie Mercury, qui semblait adorer et se délecter de l'amour et de l'adoration que cette foule lui témoignait, ce que j'admire et envie totalement. Le fait est que je ne peux pas vous tromper, aucun d'entre vous. Cela n'est honnête ni pour vous ni pour moi. Le pire crime auquel je puisse penser serait de duper les gens en prétendant que je m'amuse encore à 100 %. Parfois, j'ai l'impression que c'était comme si je pointais avant de monter sur scène. J'ai essayé tout ce qui était en mon pouvoir pour y prendre plaisir (et j'y prends effectivement plaisir, mon dieu croyez moi, j'y prends plaisir, mais pas suffisamment). Je me réjouis d'avoir touché et diverti tant de gens. Je dois être l'un de ces narcissiques qui n'apprécient les choses que lorsqu'elles ne sont plus. Je suis trop sensible. J'ai besoin d'être légèrement engourdi pour retrouver l'enthousiasme de mon enfance. Au cours de nos trois dernières tournées, j'ai pu apprécier bien mieux tous les gens que j'ai croisés et les fans ; mais je ne parviens toujours pas à surmonter la frustration, la culpabilité et l'empathie que j'éprouve à l'égard de tout le monde. Il y a de la bonté en chacun de nous et je pense que j'aime tout simplement trop les gens. Tant et si bien que ça me rend foutrement triste. La tristesse, Petit Jésus indifférent né sous le signe du poisson...Pourquoi ne pas simplement se réjouir ? Je ne sais pas. J'ai une femme divine qui transpire l'ambition et la compassion et une fille qui me rappelle trop ce que j'ai été, plein d'amour et de joie, qui embrasse chaque personne qu'elle croise parce que chacun est bon et ne lui fera pas de mal. Et ça me terrifie au point que je peux difficilement fonctionner. Je ne peux pas me faire à l'idée que Frances puisse devenir le rocker misérable, autodestructeur et suicidaire que je suis aujourd'hui. J'éprouve de la reconnaissance, mais dès l'âge de sept ans, j'ai commencé à haïr l'être humain en général. Simplement parce que ça semble si facile pour les gens de s'en aller avec la compassion. Seulement parce que j'aime trop les gens et que je me montre trop compatissant envers eux, je crois. Je vous remercie tous, depuis le gouffre brûlant de mon estomac nauséeux, pour vos lettres et l'intérêt que vous m'avez accordé ces dernières années. Je suis quelqu'un de trop erratique, de trop instable. Je n'ai plus de passion, alors rappelez-vous : il vaut mieux brûler franchement que s'éteindre à petit feu. Paix, amour, compassion. Kurt Cobain."

Les meilleurs s'en vont toujours les premiers.

vendredi 14 août 2009

14/o8/2oo9 -- 02h13

"And you can tell everyboy that this is your song"

Mais qu'est ce que l'amour ?


- L'
Amour ? Il n'y a pas plus important que l'amour. L'amour c'est l'oxygène, l'amour est enfant de bohème. L'amour nous élève.

All you need is love !

Love is just a game.


I was made for loving you baby,

You were made for loving me.

The only way of loving me baby,

Is to pay a lovely fee.

Just one night,

Give me just one night.


There's no way,

Cause you can't pay.

In the name of love!
One night in the name of love!

You crazy fool, I won't give in to you.

Don't, leave me this way. I can't survive, without your sweet love, Oh baby, don't leave me this way.

[...]
We should be lovers...


[...]
Just for one day.

We could be heroes,

Forever and ever,
We could be heroes,

Forever and ever,

We can be heroes,

Just because I... will always love you.



HOW WONDERFUL LIFE IS NOW YOU'RE IN THE WORLD







L'Amour, ça pue.

lundi 10 août 2009

1o/o8/2oo9 -- 22ho1

Finalement, je me suis dit qu'il faudrait que je tienne ce blog journalièrement, mais j'ai pas réussi. Au pire, pour le nombre de mes lecteurs, heureusement que je fait pas ce blog pour avoir des lecteurs &/ou cyberfriend. J'fait un peu trop dans le cyberfriend en c'moment, et j'me fait du mal. Mais ça, OSEF comme on dirait un peu trop.

Trop, trop, ya des trop partout, l'être humain vit dans l'excès : rarement satisfait, vouloir toujours plus, c'est ti pas le propre de l'homme ça ? On nous donne un doigt, on veut le bras. Faudrait qu'on arrive à se satisfaire & aimer ce que l'on a déjà, mais c'est trop dur. C'est trop facile aussi de se dire heureux de ce que l'on a, puisqu'on l' a déjà. Rah, qu'on est con quand même. Que l'on est stupide, et inconscient, égoïste & capitaliste. Qu'est ce qu'on sert à rien aussi. On court quand même a notre perte, mais on ne réagit pas, pourquoi ? parce que ceux qu'on a 'élu' & déclaré politiquement plus "importants'" que nous, citoyens de bas étage, en ont rien à faire de détruire leur terre, leur air, leur eau, puis que si ils peuvent toucher de l'argent, ils le feront, peu importe les conséquences.

L'argent règne depuis la nuit des temps sur Terre. Depuis qu'un 'couillon' l'a inventé. Si il savait... Il est vrai que tant qu'on touche des sous, on peut fermer les yeux sur toute injustice, sur toute dégradations, sur tout crimes. Tant qu'il ya de l'argent, ya du bonheur pour certains. Seulement pour certains. On est libre de penser ce qu'on veut, mais le fric, si c'est pas une grande arnaque par lui même ?


Souris la Terre tourne encore un peu.

samedi 8 août 2009

o8/o8/2oo9 -- 15h5o

Depuis mercredi il s'en est passé des choses : une amie à la maison, trempette dans un lac, aperçu d'une secte et ballade en maillot de bain à 23 heures, Et que de photos aussi. Haha, les ami(e)s ya que ça de bon.

Sinon, hier, première sortie en boîte de nuit pour Coliet. C'était énormissime, malgrès une certaine présence -.- C'est fou ce que la musique peut vous transporter, pourtant c'est pas le genre de musique que j'écoutes souvent, mais l'ambiance a joué, et je me suis lachée. Lorsque tu ne controle plus ton corps, que seul la musique l'agite, que tu n'as pas conscience des autres autour, qu'il n'y a que toi. Toi & la musique. La barre, tout le monde peut te voir, tu es en hauteur, mais tu t'en fiches, parce que tu danses; tu n'as pas conscience, tu es là, guidée par autre chose que ton coeur ou ton esprit. Tu te vides, tu es bien, tu aimes. Tu ressors, heureux d'avoir passé une bonne soirée.

Le bonheur est aléatoire & éphémère.

mercredi 5 août 2009

o5/o8/2oo9 -- 12ho9


Je viens de me lever. J'aime pas me lever tard, pourtant c'est ce que je fais depuis déjà deux semaines. J'ai l'impression de perdre la moitié de ma journée, de louper pleins de choses, mais j'arrive pas à me lever plus tôt. Me direz vous : Couche toi plus tôt, mais non. Si je me couche tard, j'ai mes raisons.
Je suis niaise & immature, mais je le vis bien, même si parfois, quelques années de plus ne ferait pas de mal. Mais chacun grandit à son rythme. Chacun a son histoire, chacun vit les choses à son rythme, à son échelle. Chaque chose peut paraître insignifiante pour certains, et beaucoup plus éprouvante pour d'autres. Tout le monde a ses peurs, son caractère, ce "tout" qui fait de lui un individu, malgrès le moule dans lequel on nous glisse. Les années passent, on se forge un caractère, une image, on est ce qu'on est, on assume ou pas, on se croit mature, on ne l'est pas, on veut l'être, alors on fait tout pour tenter de montrer aux autres qu'on l'est, parce que l'immaturité est considéré comme un défaut. Dommage, parce que des fois, un peu d'immaturité ne nuirait point. Certains trouvent qu'après les années, la mentalité des personnes changent radicalement. Je ne pense pas, c'est comme le physique, on n'a plus exactement les même traits qu'avant, plus la même frimousse, mais on est basé sur la même chose qu'il y a dix ans.

On ne change pas, on évolue.


mardi 4 août 2009

o4/o8/2oo9 -- 23h4o


En ce magnifique 4 Aout, Coliet commence un enième blog, sur une enième plate forme, pour raconter un enième fois sa vie. Coliet, c'est la gosse de 17 ans, qui sait pas ce qu'elle veut.


Aujourd'hui, j'ai tenté de faire le poirier dans ma chambre, contre toute attente, je me suis vautrée.
Aujourd'hui j'ai pensé à lui, & à ma conception de l'amour qui est indiscutablement pessimiste. Mais, comment trouvé l'amour bien, avec tout le mal qu'il sème ?

Pensées simplistes à l'horizon, pas de grandes réflexions, ni de mots compliqués, un étalage de débauche et de sentiments. Rien de bien intéressant en somme.

Ici & là, on parlera de ce que vous voulez, on confrontera nos avis, on se rendra intéressant, voir intelligent.

Trouver un sens à notre existence n'est guère donné. Gardons à l'esprit qu'on est là pour assurer les générations futures, plus qu'autre chose. Sur 100 000 hommes, on ne retiendra le nom que d'un petit nombre : Albert Einstein, Louis Pasteur, Charles de Gaulles, Socrate, Marie Curie, Elvis Presley... Tout les autres n'ont été là que pour permettre à la Terre d'être peuplée, et pour commettre atrocités & crimes inavouables. Le rôle de chacun est identique tout en étant différent. Ne cherchons pas à avoir notre nom gravé dans un trottoir.

Drôle de société.